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Les industriels ont fait des stocks en bovins de boucherie

Pour les vaches laitières, l’offre demeure suffisante à la veille des vacances de Noël. Les abatteurs repoussent des animaux et planifient leurs approvisionnements pour couvrir leurs besoins entre les fêtes.

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La tendance reste baissière. Les bonnes prim’holsteins P+/O– sont vendues entre 5,90 et 6,00 € (voire 6,05 € pour certains abattoirs). Les prix des vaches P=2 et 3 oscillent entre 5,70 et 5,90 € selon leurs poids, quant aux mauvaises vaches P–1 ou 2 (légères), leurs valorisations restent comprises entre 4,80 et 5,30 €. Les tarifs des bonnes normandes et montbéliardes O sont maintenus entre 6,30 et 6,50 €. Quant aux ordinaires et maigres, elles se négocient au prix des laitières.

Pour les races à viande, si les pièces nobles (filet, faux-filet ou viande à fondue) sont recherchées pour les fêtes de fin d’année. Les arrières ont en revanche beaucoup plus de mal à trouver preneur, avec des stocks de catégories qui gonflent dans les frigos. Le commerce est également très calme pour les avants, à l’approche des vacances de Noël, mais les industriels préparent déjà la rentrée que ce soit en surgelé ou en sous-vide.

Le commerce est calme avec des tarifs qui ne montrent pas d’évolution pour les bonnes femelles de qualité bouchère. Les tarifs sont compris entre 7,80 et 8,10 € pour les blondes d’Aquitaine, de 7,60 à 8,00 € pour les limousines U et entre 7,50 et 7,70 € pour les charolaises U. La gamme de prix est inchangée pour les charolaises R= qui sont vendues autour de 7,37 € sur le marché de Cholet.

La dernière grosse semaine d’activité est passée pour les jeunes bovins, et les tarifs se maintiennent.

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